Les jours passaient dans un castes éternel, en présence de la lumière pâle du nord et les renversements ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient doucement, en spirale, par exemple si le ciel lui-même les désirait à poinçonner des signaux intangibles. L’enfant, désormais adolescente, se tenait chaque matin au coeur https://lanenlgas.blogoxo.com/34377976/le-cercle-triste