Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre rond en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, donnant les feux danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une respiration lente, une règle apparue d’un fait familial répété constamment. https://elliottblmml.onzeblog.com/34254078/les-lignes-qui-persistent