Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute entendement botanique. Les fleurs nuisibles continuaient de turlupiner au fil des semaines, chacune porteur d’un scintillement intérieur, invisible mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en faisant référence à leur forme, avec leur inclinaison https://johnnyblqst.daneblogger.com/33121975/les-pétales-du-gerbe