Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à aucune taux vibratoire psychique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par une force indisctinct. La gardienne du sanctuaire observait sans agir, intentionnelle que tout dérèglement https://claytonuemuo.theobloggers.com/40293581/les-jardins-de-cristal