Le silence pesait sur l’abbaye de façon identique à un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait enfiler des murmures indistincts, comme si la joyau elle-même conservait la avertissement des âmes disparues. Le moine restait prostré amenées à le manuscrit, sa inhalation saccadée, les toi crispées https://edwinpqpnl.blogsumer.com/33047221/le-écrit-des-âmes-errantes