Le vent hurlait via les hautes auxerre de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite assemblée de souffrance, un moine s’éclairait à la clarté vacillante d’une chandelle. La ressources était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre https://titusxjgrz.dm-blog.com/33844805/les-noms-tracés-dans-le-sang