Le matin trouva Lauriana recroquevillée près des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la thermométrie ténue d’un pétard mourant. Elle se redressa légèrement, chassant de ses paupières la désagrément nocturne et caressa d’un acte protecteur la couverture du concède ancestral qu’elle avait glissé par-dessous sa frimousse pour la nuit. Le https://rafaelvdgij.blogtov.com/13571407/lauriana-voyance